Il était une bite...

Pourquoi l’homo cretinus EST cretinus ?

Homo Cretinus : L’homo cretinus est l’une des nombreuses espèces qui peuple notre belle planète terre. Il représente plus de 98,7% de la population humaine et contrairement à la marmotte face de tapette à mouche ocre, il n’est pas en voie d’extinction. L’homo cretinus possède une bite et très rarement un cerveau. Dans les rares cas de présence de celui-ci, les neurones sont quasi toujours inexistantes, noyées à la naissance par la bière et le cannabis. L’homo cretinus se nourrit essentiellement de chips, de cacahuètes imprégnées de l’urine de leurs congénères et de bière. Le déodorant et le savon sont pour lui une intrusion hostile ce qui explique son comportement répulsif en présence de ces objets. Il est présent sur tous les continents et il passe la plupart de ses journées dans son nid : le sofa. L’homo cretinus est comparable au paresseux : ils sont tous les deux rapidement épuisés pour si peu d’activité [Sauf que le paresseux, il est sexy, LUI, ha !] Cependant, Cretinus apprécie les jeux comme « Dégage avec tes Experts Miami, y a du foot ce soir ! » ou « Putain, chou, il est où mon slip ? » [Dans la poubelle ! L’odeur a déjà tué trois voisins et j’ai plus de place pour cacher les cadavres !] L’homo cretinus aime copuler. Le coït représente 90% de son temps. Les parades amoureuses restent encore une énigme pour les scientifiques qui se posent encore de nombreuses questions sur leur efficacité tel que : « Est-ce que ‘Mamoiselle, tu suces ?’ attire vraiment les femelles ? Est-ce que ‘Tu veux voir mon anaconda ?’ n’est pas un tantinet exagéré vu la taille moyenne du sexe de l’homo cretinus qui n’est pas plus gros qu’un asticot ? ». Cela dit, Cretinus reste un grand mystère mais nous pouvons tout de même conclure que cette espèce n’évoluera pas avant une petite centaine d’années [mille si on a pas de chance…]

Merci d’être venu si nombreux et à bientôt pour de nouvelles aventures !

Le prochain cours concernera « L’utilité du fer à frisus chez la nana superficielum »